Livre d'or

133 message(s) dans le livre d'or

    • O.D-S Le 23/07/2013
    Le Testament des Muses est écrit sobrement avec une intrigue serrée dans les milieux artistiques des Pyrénées Orientales et un privé dur à cuir. L’enquête est sportive, riche en cadavres et en surprenants rebondissements pour se terminer dans la cellule monacale de l’Ermitage de Saint Antoine de Galamus.Je ne dévoilerai pas le résultat du cryptogramme que l'auteur s'ingénie à placer dans le livre, renouant mine de rien avec Jules Verne et Edgar Poe.Du grand art. Un moment de lecture sacrément excitant !
    • A-M T Le 22/07/2013
    Maudit blues et Le testament des Muses m'ont fait passer de très bons moments en compagnie de Fragoni, Deborah WORSE et les Zolan. J'ai terminé les deux bouquins, à quand la suite ?
    • C.C-B Le 17/07/2013
    Tout d'abord, je tiens à vous dire que j'étais très contente de vous rencontrer. J'adore votre livre, je n'arrive pas à m'en séparer. Il est super car il est écrit assez gros et les chapitres sont courts ( tout ce que j'aime ). Bref, je voulais vous dire un gros merci et je ne manquerai pas de vous donner de mes nouvelles tout au long de la lecture du Testament des Muses.Je pense que je deviendrai très vite une fan de vos oeuvres.
    • EE-L Le 16/07/2013
    Un régal, ce Maudit blues ! La construction syntaxique me convient. Le vocabulaire est riche. Si certains auteurs m'ont rapidement fait abandonner la lecture, vous c'est avec plaisir que j'ai continué à découvrir les évènements au fil des pages. J'ai eu du mal à décrocher, pour éteindre la lumière et dormir. Tout comme j'ai réussi à me mettre dans l'histoire en sirotant un Perrier à la terrasse d'un bar, alors que normalement mon lit est mon seul lieu de concentration. Cela est incontestablement dû au fait de votre talent d'écrivain. L'intrigue est bien ficelée. J'ai rapidement compris le lien mère/fils, mais vous avez été suffisamment chenapan pour que le doute plane un bon moment. J'ai apprécié le dysfonctionnement psychologique du fils aux frontières de la schizophrénie tout comme le syndrome de Stockholm, le lien mère/enfant,père/enfant, amant/amante surgissant du néant pour un possible pardon. On peut donc dire que du côté prose et intrigue, j'en ai eu pour mon argent. Vous ne m'avez pas déçue, j'y retournerais volontiers ! Que du positif, à la hauteur d'autres auteurs comme H.Mankell, C.Cussler, R Ludlum et Frédéric Dard, y compris ses Hors série.
    • Frank S. Le 06/06/2013
    J'ai préféré Maudit blues pour sa profondeur et la violence qui sourd du texte, mais le Testament des Muses est brillantissime. Bravo ! A quand le 3ème ?
    • JS Le 05/06/2013
    J’ai vraiment beaucoup aimé Le testament des Muses. Ce livre m’a « pogné », comme on dit au Québec, au point qu’un soir il m’a tenu jusqu’à minuit ! Pour moi qui suis un « couche tôt » doublé d’un « dort tôt, c’est un exploit ! Sur un schéma somme toute assez classique (un vol, une enquête pour découvrir le voleur), une intrigue très serrée qui ne lâche pas le lecteur. S’il y a des digressions, elles sont au service de l’intrigue, et lui donnent un substrat qui l’éclaire tout en proposant des développements pittoresques, historiques ou symboliques : le passé de Flora dans le Montparnasse des années 20, qui engage celui des parents du personnage... le thème de la spoliation des Juifs pendant la Guerre, le rôle de la Catalogne ; une dimension ésotérique s’ajoute à la quête de l’objet volé, et justifie le titre du roman. Il faut mentionner aussi une petite touche poétique, avec la présence, en pointillés, de la petite Flora, qui vient mettre son grain de sel dans le « mystère » qui habite l’ensemble de l’histoire. Sans être aficionado, je suis assez amateur de polars, pourvu qu’ils offrent une autre dimension que purement factuelle : sociale confinant parfois au tragique (Jonquet, Manchette), historique ou humaine (Mickaël Connoly), à quoi peut s’ajouter une forte signification symbolique (j’ai été littéralement fasciné par les Millenium). A cet égard, ce roman semble s’apparenter, de façon originale, à ce qu’on a appelé le « néo-polar » français. Je l’ai donc dévoré !
    • JS Le 30/05/2013
    J’ai trouvé Maudit blues puissant, avec une intrigue serrée et surtout une construction du roman extrêmement carrée, rigoureuse, implacable. Les scènes de huis clos sont hallucinantes, d’une puissance dramatique qui serait sans doute insoutenable au cinéma. Il y a bien sûr la violence sauvage, brutale, qui, quand elle ne se manifeste pas par des actes, est toujours là qui couve. Mais, ce qui me paraît le plus intéressant, le plus fort, c’est que, progressivement, les deux protagonistes vont acquérir une puissante épaisseur psychologique. D’ailleurs, l’affrontement psychologique va prendre progressivement le pas sur l’affrontement physique, dans un jeu qui va permettre à chacun des personnages de prendre tour à tour le dessus sur l’autre. Le tout est servi par une belle langue : de très belles descriptions de paysages qui ajoutent à l’atmosphère, un talent tout particulier pour les portraits, la façon magistrale de camper des personnages comme Montanari ou Blumstein... La référence qui vient à l’esprit est Boileau-Narcejac.
    • TT Le 30/05/2013
    Fragoni va devoir fouiller une nouvelle fois dans un passé glamour...Il en sera quitte pour voir ressurgir les non-dits de sa propre histoire ! Le testament des Muses, qui vient après le huis-clos haletant de Maudit blues, est moins psychologique que le premier mais plus sensible et il comporte surtout des personnages hauts en couleur et captivants !
    • JP Le 30/05/2013
    Dans Le testament des Muses, nous sommes dans les années folles, l'époque où Picasso, Matisse, Dali inventent l'art moderne. Dernier témoin de cette période, Flora Zolan, muse et maîtresse des peintres de l'époque à qui on a dérobé Les Bleuets dans sa maison de retraite. Elle fait appel à Fragoni pour retrouver ledit tableau qui lui devra plonger dans son propre passé...Un polar rondement mené dans la lumière catalane.
    • M.C H Le 30/05/2013
    Il y a du Da Vinci Code dans le Testament des Muses d'Yves Carchon qui promène le lecteur aux rives de l'Apocalypse dans une quête spirituelle, intime et surréaliste. La Catalogne du nord sert de décor à cette enquête semée de cadavres avec son dénouement inévitable...Pas d'envolées dans ses phrases assez courtes : Yves Carchon a le sens du dialogue et ménage ses effets. Un livre qu'on ne lâche qu'à la dernière ligne.

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